The Forum That Came Back From The Dead
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 fresh news from france

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laurent327
FrenchyCat
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PostSubject: Re: fresh news from france   fresh news from france - Page 2 EmptyWed Sep 03, 2008 4:23 pm

rickabilly wrote:
fresh news from france - Page 2 Stevemartin


...It's like those French have a different word for everything!



Omelette du Fromage-a-billy

this makes strange for you?
you see as they devote themselves to discuss with you in English you must definitely laugh also at our errors!

American pie I love you
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gretschoholic

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PostSubject: Re: fresh news from france   fresh news from france - Page 2 EmptyWed Sep 03, 2008 4:24 pm

FrenchNat wrote:
Surprisingly good and fun article from Libération. Informative and nice anecdotes!
Nat

Anybody care to translate for us non-speakers...? silent


Anders
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http://www.myspace.com/builtforspeedband
lmp

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PostSubject: Re: fresh news from france   fresh news from france - Page 2 EmptyWed Sep 03, 2008 4:26 pm

qui s'y colle?
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FrenchyCat

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PostSubject: Re: fresh news from france   fresh news from france - Page 2 EmptyWed Sep 03, 2008 4:52 pm

gretschoholic wrote:
FrenchNat wrote:
Surprisingly good and fun article from Libération. Informative and nice anecdotes!
Nat

Anybody care to translate for us non-speakers...? silent
Anders

Well you should ask kindly to FrenchNat as it's her job Wink

FrenchyCat
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rickabilly

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PostSubject: Re: fresh news from france   fresh news from france - Page 2 EmptyWed Sep 03, 2008 7:31 pm

Le Bump

I think I understand this thread much better than the autograph seekers' thread. scratch

Le Freak-a-billy
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Frenchyfab




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PostSubject: Re: fresh news from france   fresh news from france - Page 2 EmptyThu Sep 04, 2008 5:29 am

lmp wrote:
FrenchyCat wrote:
non, mais j'aime bien les dragées Very Happy

FrenchyCat
affraid tu seras notre garçon d'honneur promis!
En v'la des gars qui se font des films, ha,ha!
Dis moi, frenchy Tu détestes pas le miel ?(sorry private joke)
Alors c'est quoi ce film????

A ce soir Frenchy, pour moi c'est la course aujourd'hui....

TODAY WILL BE A SUNNY DAY...ANYWAY sunny
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Frenchyfab




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PostSubject: Re: fresh news from france   fresh news from france - Page 2 EmptyThu Sep 04, 2008 5:31 am

laurent327 wrote:
Voici l'article piqué sur le site de libé :

Les Stray Cats auront brillé presque trente ans comme une lanterne à la proue du navire du rock’n’roll. «Mais un moment, il faut tourner la page et dire adieu à sa jeunesse», explique Brian Setzer, le guitariste fondateur, chanteur et parolier du trio (contrebasse, batterie, guitare) né en 1979 dans le Queens, quartier de New York. «On visite une dernière fois les fans. Ensuite, on fermera la maison. La fin des Stray Cats c’est aussi la fin de notre adolescence à tous les trois. A presque 50 ans, je suis fatigué par les tournées. En fait, on me paie pour voyager car, personnellement, je jouerais gratuitement», raconte-t-il le lendemain d’un concert à Helsinki. Le virtuose de la Gretsch, guitare demi-caisse des années 50, est vif, amical, mais un peu fripé ce matin-là : «Après le concert, pas moyen de fermer l’œil! D’abord il y a eu de la techno dans l’hôtel à faire trembler les murs de ma piaule. Et quand la boîte a fermé, les derniers fêtards ont remis ça dans une chambre pile au-dessus la mienne ! J’ai bien cru que ces cons allaient desceller le lustre ! A 6 heures du mat’ j’ai fini par balancer mes bottes au plafond, de rage.»

Dès lors, on comprend mieux les raisons profondes de la tournée d’adieu des Stray Cats (les chats errants), groupe pastoral de rock’n’roll qui s’est dissous, reformé et se sera produit tantôt dans des cages d’escalier («Je me souviens avoir joué devant dix personnes») tantôt dans des salles de 15 000 places. Les Stray Cats sont un groupe de première nécessité, comme il existe des trousses, dont la magie opère auprès d’un public d’une fidélité de chien. Les garçons portent des chaussures à épaisses semelles de crêpe, souvent en imitation panthère, et une chaîne de vélo qui pend de la poche arrière jusqu’aux genoux. Pour les demoiselles, les jupes sont volantes et souvent à pois.

L’enfance du jeune Setzer est marquée par les disques de «big band» de papa. Il est alors maigre et bondissant. Un jour, il rencontre l’ombre d’Eddie Cochran après un crochet au Seven Eleven, la supérette du coin, pour acheter des bières. Brian décide alors de faire pousser le rockabilly à Long Island dans du coton hydrophile et de s’acheter une Chevrolet Bel Air rose, modèle 57 : «Les types autour de moi écoutaient du rock sudiste ou les premiers groupes punks, auxquels j’ai piqué l’énergie. J’ai adopté le look rockab mais ça pas été simple. Je me suis fait méchamment rosser au début par les mecs du quartier pour ma tenue de plouc. C’est alors que j’ai commencé à me faire tatouer de partout pour passer pour un dur», se marre-t-il. Le jeune Setzer enrichira par la suite les tatoueurs et revendeurs de six cordes de Long Island: «Avant ma première Gretsch, payée avec mon premier cachet, j’ai débuté sur des guitares pourries… Mon père filait 5 dollars par semaine à mon prof de solfège, un Italien du Queens. Qui disait à mon père : "Si le môme règle pas cette semaine, c’est pas grave, on verra ça à la fin du mois, hein M. Setzer?"»

La famille Setzer a de lointaines origines allemandes. Certaines biographies mentionnent «american jewish guitarist» : «On trouve quand même de belles conneries sur le Net! C’est flatteur, mais hélas… j’suis catholique», s’étouffe-t-il en se tapant sur les cuisses. Le père est «ouvrier du bâtiment» et maman femme au foyer. «Ils n’avaient pas d’ambition particulière pour moi et mon frère car pas les moyens de payer l’université. Ils disaient: "Du moment que z’êtes heureux, faites un boulot qui vous plaît". Mon frère a fait un peu de batterie au début et moi je me suis lancé dans la guitare après des cours de dessin industriel, où je m’emmerdais. On était une famille de "blue collars", sans moyens.» On dit souvent que les grands groupes de rock naissent dans les choux : «J’ai trouvé Slim Jim Phantom, le batteur, et Lee Rocker, le seul mec qui jouait de la contrebasse façon rock’n’roll, au coin de ma rue. Lee Rocker jouait déjà comme un as. Pour Slim Jim, ça été rapide. Il était dans la rue avec sa bagnole et me dit : "Mec, j’ai ma batterie dans le coffre. On fait un essai si tu veux…" Je lui réponds : "Qu’est-ce t’as besoin de t’emmerder avec toute ta quincaillerie! Tu joues debout, t’es beau gosse." Et lui me regarde: "Putain, t’as raison, pas besoin de tout ce bordel à la Emerson Lake & Palmer"» (groupe symphonique et théâtral de l’époque, ndlr).

Les trois copains repêchent à la fin des années 70 le rockabilly, genre rural et blanc qui se noyait et qu’ils laissent donc astiqué comme batterie de cuisine : «C’est quand même devenu avec le temps une musique presque underground, sans avenir commercial, mais aussi complètement universelle puisque j’ai rencontré des Finlandais qui la jouent remarquablement.»

Setzer a rompu avec le groupe dans les années 90 pour lancer le Brian Setzer Orchestra (BSO). Quinze types sur scène, essentiellement des cuivres, et toujours ce swing terrible de Setzer à la guitare. «On me disait : tu vas te planter. Pfuff, j’ai jamais autant rempli les salles qu’avec ce big band». Et demain ? «Ecrire pour moi, retrouver mes enfants, filer un coup de main à ma femme en cuisine et descendre les poubelles quand je suis chez moi à Minneapolis». Ainsi donc la majesté du rockabilly est aussi le roi du tri sélectif, mais toujours coiffé de sa «pompadour». Car il n’y a pas de rockabilly sans «pompadour, qui est ma marque de fabrique». A ce propos, Brain Setzer se souvient d’un quiproquo : «On jouait au Rose Bonbon, une boîte parisienne, dans les années 80. Un type se précipite vers moi au moment de monter sur scène et me lance :"Nice banana, man !" Je regarde mon entrejambe en pensant que j’avais laissé ma braguette ouverte!»

En tournée, Setzer joue, lit «des biographies d’hommes célèbres» et essaie de dormir, comme on l’a constaté plus haut. Et après le dîner, une fois les pieds pris dans les pantoufles ? «Ben, un cigare et un verre de scotch, comme Churchill.» Comme Sir Winston, qu’il place aussi haut qu’Eddie Cochran, c’est : no sport. «C’est pour ça que je suis pas prêt à me mettre au golf, comme Alice Cooper [chanteur de hard rock américain, ndlr]. Lui, s’y est mis pour décrocher de l’alcool. Jouer au golf pour retrouver la sobriété. Hum-hum, le golf c’est vraiment au-dessus de mes forces», glisse-t-il en clignant de l’œil.

Les Stray Cats, vus par l’auteur de ces lignes en 1983, étaient d’une maigreur extrême. Le temps, la bonne chère, et le whisky tourbé ont alourdi la silhouette de Setzer. Le chat efflanqué a pris un peu de ventre mais joue et chante toujours divinement les Cadillac aux pneus à flancs blancs et les filles en robe légère. Le rockabilly n’est pas rempli de complications et il ne serait «ni républicain, et encore moins démocrate», selon Brian Setzer. «Bah, la politique, je laisse ça à Bono et à Neil Young…»

Le rockabilly touche les jambes en priorité qui, du coup, se mettent à bouger toutes seules. Ensuite, c’est tout le corps qui est pris. Deux heures plus tard, le sujet soumis aux radiations du rockabilly cherche son peigne pour redresser sa «pompadour» qui s’est naturellement affaissée. C’est une donnée de l’observation scientifique depuis environ 1955.


Merci Laurent, je suis très impressionnée par tes talents de Dactylo!
Quelle interview!!!!

A ce soir dans la salle
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